As well as the common system facilities (mail, news, daemon, cron, etc), syslog provides a series of "local" facilities, numbers 0 to 7: LOCAL0, LOCAL1, ..., LOCAL7.
facilities=fonctionnalités
Messages refer to a facility (auth, authpriv, daemon, cron, ftp, lpr, kern, mail, news, syslog, user, uucp, local0, ... , local7 ) and are assigned a priority/level (Emergency, Alert, Critical, Error, Warning, Notice, Info or Debug) by the sender of the message.
Les niveaux de gravité Syslog, souvent appelés level sont au nombre de huit représentés par un chiffre de 0(Emergency) à 7(Debug):
0 Emerg (emergency) ⇒ Système inutilisable
1 Alert ⇒ Une intervention immédiate est nécessaire
2 Crit (critical) ⇒ Erreur critique pour le système
3 Err (error) ⇒ Erreur de fonctionnement
4 Warning ⇒ Avertissement
5 Notice ⇒ Événement normal méritant d'être signalé
6 Info (informational) ⇒ pour information seulement
7 Debug ⇒ Message de mise au point
8 none ⇒ Ignorer ce message
Syslog-ng et rsyslog peuvent stocker les logs dans une BD
je pense que qd on install une verison superieur soit le ng soit le rsyslog
chakun prd le role de sn predecesseur
expl
j ai instalé syslog apré le sys-ng apré le rsyslog
qd je modifie les fichier de configuration pour indiquer les fichier log destination
seul celui de rsyslofg est pris en compte
c a d
si on change
*.*;mail.none;news.none -/var/log/messages
par
*.*;mail.none;news.none -/var/log/file
ce changmnt ne sera consid&éer que dans le rsyslog
un autre point c l'include dans les fichier de log rsylog
remot.conf pour configurer les echange dans le researu
syslog( un protocole qui s'appuie nativement sur UDPIl hérite donc de toutes les faiblesses inhérentes à UDP
) ==>syslog-ng===>rsyslog(based on TCP It implements the basic syslog protocol, extends it)
Le protocole Syslog définit la notion de périphérique, de relais et de collecteur dans une architecture Syslog.
why syslog:
Practically all networking devices, from routers and switches to firewalls and VPN concentrators ‘speak’ syslog.siwtch meme onduleur parle syslog :p
Unix and Linux (and all other ix-ishes) ‘speak’ it too.
As a result most network and security engineers and sysadmins are already familiar with it, and most of our network infrastructure can use it.
The excellent open-source Snare agent can be installed on Windows to export event logs as a syslog feed, sharing the love with Windows admins.
RFC(memo):
http://www.faqs.org/rfcs/rfc3164.html
rsyslog : Rsyslog est un démon de journalisation de type syslogd ayant pour fonctionnalités principales le support de MySQL, syslog/tcp,Il est suffisamment compatible avec sysklogd pour être capable de le remplacer complètement. Ses fonctionnalités avancées (notamment les possibilités de cryptage) en font un choix intéressant pour les entreprises tout en restant simple à configurer pour l’utilisateur débutant. Il existe une interface web optionnelle nommée phpLogCon qui permet de voir l’ensemble des données en ligne. En novembre 2007, Rsyslog est devenu le système de journalisation par défaut de la distribution Fedora.
suite:
http://wiki.monitoring-fr.org/nagios/integration/rsyslog
http://www.rsyslog.com/download/
http://www.k-tux.com/4-lignes-pour-rsyslog installer rsyslog
http://www.rsyslog.com/doc/install.html
clientt syslog sous windwos
http://retrohack.com/howtoinstall-and-configure-snare-agent-for-windows/
configuration de fichier d un service pour indiquer l usage de syslog "c'est fournit avec le service par defaut"
on trouve dans le fichier dhcpd.conf
# Use this to send dhcp log messages to a different log file (you also
# have to hack syslog.conf to complete the redirection).
log-facility local7;
il y a un cd de reparattion et un autre just te donne la fenetre de commande pour reparer
qd il affiche les choix(installer ou reparer cliki sur R)
pour le 1er on clik entrer et apré R pr le 2eme clik entrer des debut car il ne donnera pa chois d reparation apré
2eme est le plus rependu
Comment réparer Windows XP
http://www.sospc-en-ligne.com/tutoriaux-reparerxp.html
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WINNT\System32\Config\system est absent ou endommagé.
http://forum.hardware.fr/hfr/WindowsSoftware/Windows-nt-2k-xp/winnt-system32-config-sujet_103049_1.htm
c:/boot.ini exp :
[boot loader]
timeout=30
default=multi(0)disk(0)rdisk(0)partition(1)\WINDOWS
[operating systems]
multi(0)disk(0)rdisk(0)partition(1)\WINDOWS="Microsoft Windows XP Professional" /fastdetect /NoExecute=OptIn
pt etre configuré a l aid e de la commande bootcfg
pr more indfo
http://support.microsoft.com/kb/289022
Service Control - Create, Start, Stop, Query or Delete any Windows SERVICE. The command options for SC are case sensitive.
Syntax
SC [\\server] [command] [service_name] [Options]
Key
server : The machine where the service is running
service_name : The KeyName of the service, this is often but not always
the same as the DisplayName shown in Control Panel, Services.
You can get the KeyName by running:
SC GetKeyName <DisplayName>
commands:
query [qryOpt] Show status
queryEx [qryOpt] Show extended info - pid, flags
GetDisplayName Show the DisplayName
GetKeyName Show the ServiceKeyName
EnumDepend Show Dependencies
qc Show config - dependencies, full path etc
start START a service.
stop STOP a service
pause PAUSE a service.
continue CONTINUE a service.
create Create a service. (add it to the registry)
config permanently change the service configuration
delete Delete a service (from the registry)
control Send a control to a service
interrogate Send an INTERROGATE control request to a service
Qdescription Query the description of a service
description Change the description of a service
Qfailure Query the actions taken by a service upon failure
failure Change the actions taken by a service upon failure
sdShow Display a service's security descriptor using SDDL
SdSet Sets a service's security descriptor using SDDL
Vous pouvez utiliser Sc.exe lors du développement de services pour Windows.
Simple Network Management Protocol (abrégé SNMP), en français « protocole simple de gestion de réseau », est un protocole de communication qui permet aux administrateurs réseau de gérer les équipements du réseau, de superviser et de diagnostiquer des problèmes réseaux et matériels à distanc
connaître l'état global d'un équipement (actif, inactif, partiellement opérationnel...) ;
gérer les évènements exceptionnels (perte d'un lien réseau, arrêt brutal d'un équipement...) ;
analyser différents métriques afin d'anticiper les problèmes futurs (engorgement réseau...) ;
agir sur certains éléments de la configuration des équipements.
Les différents éléments que l'on peut identifier avec le protocole SNMP sont synthétisés par le schéma ci-dessous.
Architecture SNMP globale
Les agents SNMP : ce sont les équipements (réseau ou serveur) qu'il faut superviser.
Le superviseur SNMP : c'est une machine centrale à partir de laquelle un opérateur humain peut superviser en temps réel toute son infrastructure, diagnostiquer les problèmes et finalement faire intervenir un technicien pour les résoudre.
Le protocole SNMP : c'est le protocole utilisé par les agents SNMP et leur superviseur pour communiquer entre eux.
La MIB : ce sont les informations dynamiques instanciées par les différents agents SNMP et remontées en temps réel au superviseur.
Les outils SNMP. Ce sont les différents utilitaires utilisés par le superviseur pour l'aider à diagnostiquer un problème. Ces différents outils sont aussi utilisés lors de la configuration du superviseur pour prendre en compte les spécificités de l'infrastructure.
un fichier MIB est un fichier texte. Il contient la spécification de différents OID (je crois il se trouve sur lequpement visé)
The OID naming scheme is governed by the Internet Engineering Task Force (IETF). The IETF grants authority for parts of the name space to individual organizations such as Microsoft, Novell or CIsco. For example, Microsoft has the authority to assign the OIDs that can be derived bybranching downwardfrom the node in the MIB name tree that starts with 1.3.6.1.4.1.311. Novell's OIDs branch down from 1.3.6.1.4.1.23. and Cisco's OIDs branch down from 1.3.6.1.4.1.9. You can see this structure in the diagram below.
Il arrive parfois que suite à un mauvais paramétrage du bios ou tout simplement à un overclocking instable ou autre, votre PC ne réagisse plus d'une manière cohérante même en ayant remis par défaut les caractéristiques de votre carte mère via le bios.
Il est donc nécessaire parfois d'avoir recours à un CMOS (Reset complet de la carte mère)
Voici comment faire un CMOS :
1. Eteindre le PC,
2. Débrancher le cordon d'alimentation,
3. Enlever le panneau latéral du PC, pour avoir accès aux composants,
4. Toucher le boîtier du PC pour harmoniser le potentiel électrique du corps avec celui de l'ordinateur,
5. Sur la carte mère, trouver la pile plate, et, juste à côté, le cavalier qui permet de réinitialiser le BIOS :
6. Le cavalier, souvent appellé JP1, CLRTC ou JBAT (mais pas toujours), devra être déplacé de sa position initiale (position 1-2), en position 2-3 :
7. Lorsque le cavalier a été déplacé, attendre quelques instants, puis le remettre dans sa position initiale (position 1-2). Remonter le PC, le rebrancher, et redémarrer.
BIOS = Basic Input/Output System
Le BIOS est un petit programme. Il est situé sur la carte mère de l'ordinateur dans une puce de type ROM (voir ci-dessous).
Le BIOS est le premier programme chargé en mémoire dès que vous allumez votre ordinateur. Il assure plusieurs fonctions:
le POST (Pre-Operating System Tests ou Power-On Self-Tests selon les écoles) : c'est l'ensemble des tests qu'effectue le BIOS avant de démarrer le système d'exploitation:
vérifier que la carte mère fonctionne bien (barettes de mémoire vive (RAM), contrôleurs de ports série, parallèle, IDE, etc.)
vérifier que les périphériques simples ("Basic") connectés à la carte mère fonctionnent bien (clavier, carte graphique, disques dur, lecteur de disquette, lecteur de CD-Rom...)
paramétrer la carte mère (à partir des informations stockées dans les CMOS (voir ci-dessous)).
chercher un disque sur lequel il y a un système d'exploitation prêt à démarrer.
Le BIOS peut également rendre des services au système d'exploitation en assurant la communication entre les logiciels et les périphériques, mais seulement pour les périphérique simples (clavier, écran, etc.).
Par exemple, le BIOS ne s'occupera pas de la communication entre le système d'exploitation et un scanner.
Beaucoup de systèmes d'exploitation se passent des services du BIOS et s'adressent directement à certains périphériques.
Le BIOS contient aussi généralement un programme qui permet de modifier les paramètres de la carte mère. Ce programme est appelé setup. (C'est le programme auquel vous pouvez accéder en pressant Echap, F2, F10 ou ESPACE au démarrage de l'ordinateur.)
C'est quoi une ROM ?
ROM = Read Only Memory
C'est un type de puce capable de stocker des informations et de les conserver même quand le courant est coupé. En principe une ROM n'est pas modifiable. On ne peut que lire les informations qu'elle contient.
Cependant il existe certaines ROM qu'on peut exceptionnellement modifier (par exposition aux UVs, ou bien électroniquement). Ces ROM sont dites "flashables". (Mais elles ne supportent pas d'être trop modifiées: il faut donc l'éviter).
Dans un PC, on trouve des ROMs sur la carte mère (elle contient le BIOS), dans les cartes graphiques, dans les cartes réseau, etc.
C'est quoi les CMOS ?
CMOS = Complementary Metal Oxide Semiconductor
C'est un type de puce capable de stocker des informations et de les conserver même quand l'ordinateur est éteint. Leur contenu est maintenu par un faible courant électrique fourni par une pile. Ces mémoires peuvent être modifiée souvent sans dommage.
Le BIOS vient lire des informations dans cette mémoire quand vous allumez l'ordinateur. Il y stocke également la date et l'heure et vient régulièrement les mettre à jour.
Les mémoires CMOS sont plus lentes que celles utilisées pour le fonctionnement courant de l'ordinateur (la mémoire vive (RAM) est souvent de type DDRAM, SDRAM, EDO...). Les CMOS ont l'avantage de consommer peu de courant par rapport à leurs grandes soeurs.
La directive NameVirtualHost n'apparat donc qu'une seule et unique fois quelque soit le nombre de domaines que vous hbergez et ne contient que l'ip du serveur (+ le port si vous coutez sur diffrents ports). Ce n'est pas ce que j'avais jusque-l. Ca marchait bien quand mme mais maintenant si j'ai bien compris la doc, je vais m'viter ainsi en plus une requte DNS vu que j'ai remplac les noms des hotes par leur IP ;-)
Les commandes exécutées sont enregistrées dans un historique.
La variable HISTSIZE contient le nombre maximal des commandes à enregistrer.
Vous pouvez accéder à l'historique avec la commande history
Ben en fait c'est simple et même logique mais seulement une fois qu'on a lu la documentation d'apache à ce sujet...
Si comme moi vous hébergez plusieurs sites sur un serveur avec une adresse IP, il faut en fait faire :
La directive NameVirtualHost n'apparaît donc qu'une seule et unique fois quelque soit le nombre de domaines que vous hébergez et ne contient que l'ip du serveur (+ le port si vous écoutez sur différents ports). Ce n'est pas ce que j'avais jusque-là. Ca marchait bien quand même mais maintenant si j'ai bien compris la doc, je vais m'éviter ainsi en plus une requête DNS vu que j'ai remplacé les noms des hotes par leur IP
Emscripten is an LLVM-to-JavaScript compiler. It takes LLVM bitcode - which can be generated from C/C++, using llvm-gcc or clang, or any other language that can be converted into LLVM - and compiles that into JavaScript, which can be run on the web (or anywhere else JavaScript can run).